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Blédina encourage l’allaitement maternel au moins jusqu’aux 6 mois de l’enfant en accord avec les recommandations de l’OMS. En effet le lait maternel est l’aliment le mieux adapté aux besoins spécifiques des bébés. Par ailleurs, la réglementation interdit aux industriels de l’alimentation infantile de communiquer sur leurs laits pour nourrissons (0-6 mois). Consultez votre médecin.
Pour la majorité des enfants, l’heure du petit-déjeuner, du déjeuner, du goûter ou du dîner est une fête. Mais chez certains bébés, qui traversent une phase d’hypersélectivité ou de néophobie alimentaire, cela peut se transformer en casse-tête pour leurs parents.
Votre enfant refuse d’avaler des légumes, qu’ils soient crus ou cuits ? Il ne veut pas manger de morceaux (par exemple pour la viande ou le poisson) ? Ou, au contraire, il ne réclame que de la viande, du poisson, ou de l’œuf (parfois appelés protéines) et des féculents (pâtes, riz, pommes de terre) ? Sachez, d’abord, que sauf problème identifié (tel qu’un trouble de l’oralité alimentaire qui sera diagnostiqué par un pédiatre), cette phase est fréquente, transitoire et votre enfant retrouvera bientôt un appétit normal et des habitudes alimentaires variées… à condition de respecter quelques règles :
– continuer à lui proposer, à chaque repas, différents aliments et plus particulièrement des légumes et des fruits variés, et essayez de l’inciter à les goûter, sans toutefois le forcer ;
– ne pas céder et lui laisser manger les quantités de féculents (tel que le pain blanc) et de viande, poisson, ou œuf (parfois appelées protéines) prévues. Les apports quotidiens de viande ou de poisson ou d’œuf ne doivent pas excéder 30 grammes par jour (soit l’équivalent de 6 cuillères à café) de viande ou de poisson, toujours bien cuit à cœur ou un ½ œuf dur.
Les légumes et les fruits doivent également être très présents. Proposez-lui en à chaque repas et variez les plaisirs, tant sur la forme que sur la variété : en morceaux, crus ou cuits, en purée (compote sans sucres), en soupe, … Les fruits et les légumes seront encore meilleurs s’ils sont de saison. Et si votre enfant participe à leur préparation ! Un enfant de deux ans peut tout à fait couper sa banane ou un kiwi préalablement épluché, s’il est doté d’outils adaptés à sa petite main. En plus, le fait de participer à la préparation des repas, de faire les courses avec vous au marché, pour choisir les fruits, les légumes, ou la viande et le poisson, est une bonne manière de l’inciter à avoir une alimentation variée et équilibrée. Sa diversification alimentaire est désormais quasi complète, en dehors des aliments crus (fromage au lait cru, charcuterie, poisson fumé notamment) qui peuvent présenter un risque bactériologique et pour lesquels il faut encore patienter ainsi que les arachides et fruits à coque entiers, les aliments ovoïdes ou cylindriques qui peuvent présenter un risque d’obstruction et donc d’étouffement.
Si l’allaitement maternel est terminé, il est recommandé de continuer à proposer deux biberons de lait de croissance* (parfois aussi appelé “lait” 3e âge) par jour à votre enfant de deux ans. Ces formules spécifiquement élaborées pour satisfaire les besoins nutritionnels des enfants de moins de trois ans sont à privilégier par rapport au lait de vache traditionnel qui n’est pas encore tout à fait adapté à cet âge : elles contiennent en effet davantage de fer, d’acides gras essentiels et de vitamines, dont votre bébé a besoin. Vous pouvez donc lui donner 210 ml de lait infantile* au petit-déjeuner (qui peut être enrichi de 5 cuillères à café arasées de céréales infantiles, telles que les céréales BlédineⓇ). Pour compléter cet apport, un second biberon de 210 ml de lait infantile* peut lui être proposé au goûter. Bien entendu, si votre bébé n’aime plus boire au biberon, vous pouvez tout à fait lui proposer un autre contenant, tel qu’un bol ou une tasse à bec.
Lors des autres repas (déjeuner et dîner), préférez lui proposer d’autres formes de produits laitiers spécifiques et adaptés à son âge, en privilégiant les laitages pensées pour les enfants en bas âge. Le fromage peut être une façon de varier les menus. Veillez à lui en proposer une quantité raisonnable (maximum 20g) et à ce qu’il soit pasteurisé ou à pâte pressée cuite : les fromages crus peuvent en effet contenir la bactérie Escherichia coli (E. coli), qui peut être particulièrement dangereuse pour les enfants de moins de 5 ans.
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* aliment lacté destiné aux enfants en bas âge
A partir de deux ans, les enfants dorment généralement entre 11 à 14 heures par jour et ont encore besoin de faire la sieste après le déjeuner. L’heure du coucher varie bien sûr en fonction de l’heure de réveil. Entre 2 et 3 ans, on conseille de coucher un enfant entre 19h et 20h30, pour un réveil aux environs de 7 heures.
Si les nuits sont généralement plus apaisées, il peut arriver que votre grand bébé se réveille, notamment en raison d’un cauchemar. Ces mauvais rêves surviennent généralement en fin de nuit : l’enfant se réveille avec un sentiment d’angoisse.
S’il se réveille en hurlant en début de nuit (1 à 2 heures après l’endormissement), on parle plutôt de terreurs nocturnes, qui peuvent être très impressionnantes pour les parents. L’enfant n’a alors pas conscience de la présence de ses parents qui viennent à son chevet : il est d’ailleurs conseillé de ne pas lui parler, ni de le toucher et encore moins de le réveiller. Après 1 à 5 minutes, l’enfant se rendort généralement sans problème et n’a, le lendemain matin, aucun souvenir de cet épisode.
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Le cap symbolique des 2 ans franchi, votre enfant va continuer à vous émerveiller par ses progrès rapides, notamment au niveau langagier et cognitif. Il comprend de plus en plus de concepts (en haut, dedans, etc) et vous pouvez l’aider à progresser dans sa compréhension du monde en complexifiant un peu votre manière de lui parler. Ajoutez des adjectifs qualificatifs (chaud, mouillé, dur), comptez les petites voitures avec lesquelles vous jouez pour lui faire comprendre que les chiffres font partie de la vie de tous les jours, lui présenter les couleurs des objets qui l’entourent…
Chaque moment de la journée est une occasion d’enrichir son vocabulaire pour votre enfant qui, à l’âge de 2 ans, est capable d’apprendre un nouveau mot par heure ! Cet apprentissage sera naturel si vous parlez à votre tout-petit sans simplifier votre langage. Autre astuce : ritualiser une séance de lecture quotidienne. Les imagiers et petites histoires sont idéals pour nourrir sa curiosité et développer son vocabulaire.
Vous l’aiderez à développer sa confiance en lui (sa motricité fine) en le chargeant de missions importantes à ses yeux telles que transporter un petit pot rempli d’eau ou couper un fruit, à l’aide d’un outil adapté, comme un couteau à beurre par exemple. Montrez-lui également que vous avez remarqué ses centres d’intérêt et encouragez-le à les explorer davantage s’il le souhaite.
L’âge de deux ans peut également marquer l’entrée dans la “petite adolescence”, aussi appelée “Terrible Two”. Aux environs de 24 mois (parfois bien plus tôt et parfois plus tard), l’enfant a besoin de s’affirmer, de vous prouver et de se prouver qu’il est un individu à part entière, doté d’une capacité de décision. Si vous êtes très régulièrement confronté à son opposition, le maître-mot sera la patience… Bien sûr, il n’est pas toujours évident, dans le rythme souvent soutenu du quotidien, de garder son calme face à un enfant qui refuse systématiquement de coopérer, que l’on soit à la maison ou en dehors. Mais en prenant un temps de recul, vous trouverez les réponses qui évitent les crispations. Vous pouvez par exemple tenter de lui laisser le choix entre deux possibilités (quel livre il veut que vous lui lisiez en premier, à quel jeu il souhaite jouer avec vous, etc…), afin que vous lui offriez un espace de décision, et évitez qu’il ait systématiquement le sentiment de subir votre autorité. En revanche, le fait de devoir décider peut être une situation perturbante pour certains enfants. Si c’était le cas, choisissez pour lui en prenant le temps de justifier votre choix à votre enfant.
Le doudou est, pour une grande partie des jeunes enfants, sacré. Certains sont même totalement accros à cette peluche ou ce chiffon, et ne peuvent s’en passer. La perte d’un doudou peut même être vécue comme un véritable drame, surtout si elle intervient vers l’âge de deux ans. Pour le remplacer plus facilement en cas de perte, prévoyez si c’est encore possible, deux doudous identiques que vous donnerez en alternance à votre enfant afin que l’odeur et l’état d’usure soient semblables. Lavez le doudou régulièrement, à la fois pour des questions d’hygiène, mais aussi pour que votre enfant soit habitué à ce que son doudou ait des odeurs variables.
Toutes les informations livrées dans ces pages sont indicatives : chaque enfant évolue à son propre rythme qu’il est important de respecter.
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