Vous vous demandez s’il est possible de donner des gâteaux apéro à votre bébé ? 

Votre bébé semble avoir tout le temps faim ? Chers parents, avant de prendre la décision de lui donner quelque chose à manger pour le faire patienter, il est important de vous interroger sur la façon dont sont organisés ses repas et s’ils correspondent à son âge et à ses besoins :  

• Son petit-déjeuner est-il suffisant ? N’hésitez pas à consulter notre article pour en savoir plus sur le petit-déjeuner, de la naissance jusqu’à l’âge de 3 ans et accéder à tous nos menus-type par âge ! 

• Ne mange-t-il pas trop tard ? Ne faudrait-il pas, tout simplement, avancer un peu l’heure de son déjeuner ?  

• Peut-être que ce que vous prenez pour de la faim est en fait de l’ennui et/ou que votre bébé souhaiterait juste plus d’attention de votre part alors que vous êtes en train de préparer son repas ? Pour vérifier cette hypothèse, vous pouvez tester la mise en place d’activités avant le déjeuner : sortir faire une balade, lire une histoire, ou encore, en fonction de son âge, le faire participer à la préparation du repas !  

En France, l’équilibre alimentaire et les relations sociales reposent, pour un enfant (après 6 mois environ, chaque enfant étant différent), sur 4 repas/jour : petit-déjeuner, déjeuner, goûter, et dîner. Donner des aliments à grignoter à votre bébé entre ces repas peut compromettre son équilibre alimentaire. 

Eviter les grignotages est aussi préférable pour l’hygiène bucco-dentaire de votre enfant. 

Cependant, il convient de considérer les besoins de votre bébé : tout comme pour le sommeil (certains bébés dorment peu alors que d’autres sont de gros dormeurs), certains bébés mangent plus que d’autres.  

S’il vous semble réellement nécessaire de lui proposer quelque chose à manger pour faire patienter votre enfant juste avant son repas, ayez en tête que certains aliments, du fait de leur forme sphérique ou cylindrique, de leur composition qui ne respecte pas la réglementation stricte imposée pour l’alimentation infantile (trop de sel notamment) ou de leur texture (trop dure ou qui se déforme peu) ne sont pas recommandés. Evitez, pour ne citer que quelques exemples :  

• Les fruits à coques (noix, noisettes, amandes), à moins de les broyer pour les proposer à votre bébé dans une texture adaptée à son âge. Retrouvez dans cet article tous nos conseils sur l’introduction des fruits à coque dans l’alimentation de votre enfant ! 

• Les cacahuètes, 

• Les tomates cerises entières (coupez-les en 4 avant de lui proposer), 

• Les grains de raisin entiers (coupez-les également en 4),  

• Le maïs soufflé type popcorn, 

• La charcuterie, 

• Les saucisses, y compris les knack, 

• Et tous les biscuits apéritifs… 

Si votre bébé semble avoir trop faim pour pouvoir patienter jusqu’au repas, une bonne option est de lui proposer, juste avant celui-ci, un ou plusieurs produits en mode « finger-food », qu’il pourra manger avec les doigts (toujours assis, le dos bien droit et vertical, avec les pieds sur un support et sous la surveillance permanente d’un adulte, bien sûr !). Cela lui permettra de faire des expériences sensorielles pour découvrir de nouvelles odeurs, couleurs, textures et formes…  

Ces aliments doivent être proposés dans le cadre d’une alimentation variée et équilibrée, et ne devront en aucun cas remplacer son repas. 

Dès lors que votre enfant se tient assis tout seul, mange des plats avec des petits morceaux, mange un quignon de pain, et a déjà 2 dents, vous pouvez, pour patienter lui proposer :  

• Des produits « bruts » : bâtonnets de légumes ou fruits fondants  

• Des produits du commerce adaptés* : comme les produits blédina Mes 1ers soufflés (dès 10 mois). Et lorsqu’il aura 15 mois, saura se déplacer seul, mangera des morceaux plus ou moins fondants et mangera un quignon de pain seul, alors il pourra croquer les Crousti à dévorer (de 15 mois à 3 ans). 

Pratiques, nos “soufflés” à base de céréales et légumes ou nos “crousti à dévorer” (à base de lentilles corail et de maïs) peuvent être une alternative tout en permettant aux enfants de faire de nouvelles découvertes gustatives. Consommés juste avant le repas, selon les quantités et fréquences recommandées, ils peuvent constituer une proposition adaptée aux besoins spécifiques* de votre bébé. Sans sel ajouté (conformément à la réglementation de l’alimentation infantile), sans huile de palme, sans arômes, et sans résidus de pesticides**, leur format permet de facilement doser la portion adéquate pour faire patienter votre enfant juste avant le déjeuner ou le dîner (maximum 1 portion de 4 grammes / jour). En plus, ils ont une texture soufflée, croustillante puis fondante en bouche.    

Et bonne nouvelle, ces produits sont aussi sans sucres ajoutés (ils contiennent des sucres naturellement présents dans les féculents ou les légumes) et sans lait. 

Dans le cadre d’une alimentation variée et équilibrée, en respectant le moment de consommation, la portion et la fréquence de consommation recommandés, ils permettent donc de contribuer à satisfaire les besoins spécifiques* des tout-petits.  

Cela dépend bien sûr du produit que vous souhaitez proposer à votre bébé, l’objectif étant qu’il corresponde au stade où il se trouve dans la diversification alimentaire.  

Par exemple, Mes 1ers soufflés” ou les “Crousti à dévorer” de blédina pourraient être proposés juste avant le repas, dès 10 mois en ce qui concerne “Mes 1ers soufflés”, et dès 15 mois pour les “Crousti à dévorer” (voir au dos de chaque emballage si votre bébé est bien prêt à 10 et 15 mois). 

Il est recommandé de ne pas faire grignoter votre enfant entre les repas. C’est pourquoi ces produits seront donnés juste avant le repas, dans le but de le faire patienter un peu pendant que vous finissez de préparer son plat, par exemple.  

Ceci ne doit cependant pas devenir une habitude ou un rituel, afin de conserver un régime varié. En effet, cela est d’autant plus important quand bébé est encore ouvert aux nouvelles expériences sensorielles et qu’il n’est pas encore rentré dans la phase de ​​néophobie ou d’hyper-sélectivité alimentaire. Ces produits pourront être proposés au maximum une fois par jour, sans dépasser la portion journalière recommandée. Et comme c’est le cas depuis sa naissance, il faut continuer à respecter son appétit et ne pas le forcer à terminer son repas s’il n’a plus faim.  

Proposer des produits adaptés durant la diversification alimentaire peut permettre à votre bébé de faire de nouvelles découvertes : 

• sensorielle : avec une texture sèche et aérée qu’il peut manipuler avec ses petits doigts puis en bouche. Vous pouvez également échanger oralement avec lui autour des différentes formes des 1ers soufflés et crousti à dévorer blédina, 

• gustative : ils lui permettront de découvrir ou re-découvrir certains légumes (carotte,  butternut, tomate, ou encore maïs doux), et féculents (maïs ou lentilles corail), 

• de texture : croustillants puis fondants, ces biscuits feront un bruit différent des aliments qu’il consomme habituellement, quand il les croquera et les écrasera dans sa bouche ! 

Pour pouvoir proposer des biscuits à votre enfant, veillez notamment à toujours respecter les règles de sécurité essentielles dès qu’il s’alimente : il doit être assis, les pieds posés à plat sur un support, le dos droit et vertical, sous la surveillance permanente d’un adulte, et sans distraction.  

Par ailleurs, lisez toujours attentivement le petit encart « Bébé est-il prêt ? » sur les emballages de nos produits, afin de savoir si votre bébé est au stade où il peut consommer les recettes correspondantes.  

Enfin respectez les moments de consommation, les portions et les fréquences recommandées.  

_{* conformément à la réglementation de l’alimentation infantile} 

_{** taux inférieurs à 0,000001 % conformément aux règles de l’alimentation infantile}