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Agir aujourd’hui pour eux demain, en mettant en place une agriculture régénératrice, voilà l’essence de ce projet plein d’ambition, appelé Pachamama !
Comment ?
En accompagnant les agriculteurs de fruits, légumes et céréales français dans leur transition à l’agriculture régénératrice, en favorisant de nouvelles pratiques agricoles qui améliorent la santé des sols et protègent la biodiversité.
Pour cela, avec nos partenaires d’impact (Le Fonds Danone Ecosystème) et techniques (Pour une Agriculture Du Vivant, Fredon Bretagne), nous nous sommes engagés dans un projet d’intérêt général, appelé Pachamama depuis Janvier 2020.
Déployer l’Agriculture Régénératrice en proposant un accompagnement technique à nos 250 agriculteurs partenaires français dans leur transition.
Co-construire un modèle économique viable et durable pour nos filières en transition vers l’agriculture régénératrice
Travailler en collaboration avec le tiers de confiance de la transition agroécologique, Pour une Agriculture du Vivant, afin de garantir la pertinence de notre démarche et accompagner au mieux nos fournisseurs.
Le saviez-vous ?
Saviez-vous que la moitié des espèces vivantes pourrait disparaître d’ici un siècle ?
Eh oui ! compte tenu du rythme actuel de leur disparition, qui est 100 à 1000 fois supérieur au taux naturel d’extinction.
Qu’est-ce que la biodiversité ? | Ministère de la Transition écologique
Parce que les agriculteurs doivent continuer à produire dans un monde qui change, ils doivent faire preuve de résilience face à de nombreux défis… C’est avec des accompagnements individuels et collectifs, que nous les soutenons sur ce chemin de la transition. Nous mettons par exemple en place :
Nous nous entourons systématiquement d’experts techniques, afin d’assurer un apport pertinent de connaissances sur le fonctionnement des écosystèmes et des bonnes pratiques agricoles associées .
Plus de 250 agriculteurs et techniciens ont déjà eu accès à une formation en lien avec l’agriculture régénératrice.
Notre objectif que d’ici 2025, 100% de nos agriculteurs partenaires français soient en transition vers l’agriculture régénératrice.
95% de notre alimentation dépend des sols. Prendre soin des multiples ressources de la planète est essentiel pour continuer à se nourrir, tout en prenant plaisir à manger des bons aliments !
Et comme la théorie n’est jamais aussi simple en pratique, c’est par la mise en place de fermes pilotes, leur suivi régulier mais aussi le partage d’expériences entre les agriculteurs et techniciens que nous comptons atteindre l’objectif de cette transition.
Avec l’aide de nos partenaires techniques, Fredon Bretagne et Pour une Agriculture Du Vivant, nous testons dans ces fermes pilotes des méthodes qui favorisent la fertilité des sols et protègent la biodiversité présente dans les airs et sous nos pieds. Parmi ces méthodes figurent par exemple, la réduction du travail du sol, la mise en place de couverts végétaux, des rotations de cultures longues.
Entre 2020 et 2023, plus d’une trentaine de fermes pilotes ont été lancées partout en France, 120 nichoirs à rapaces ont été installés et 130 prairies fleuries ont été semées sur des fermes légumières en Bretagne.
Changer ses pratiques agricoles n’est jamais sans risque. C’est pourquoi Blédina et Pour Une Agriculture Du Vivant, avec la participation des acteurs des filières, ont développé des outils de modélisation économique, afin de comprendre l’impact financier des changements de pratiques pour nos agriculteurs et ainsi imaginer un modèle durable pour les filières en transition. Ce sont ces outils qui vont permettre de définir, en collaboration avec nos agriculteurs et fournisseurs partenaires, les primes à verser pour financer le changement de pratiques.
De quel ravageur la coccinelle
protège-t-elle les cultures ?
Réponse : La coccinelle est un prédateur du puceron, c’est ce qu’on appelle un insecte auxiliaire !
Elle peut en consommer plus de 50 par jour. Le puceron est un ravageur, c’est-à-dire qu’il attaque les cultures.
Source : Gerbeaud
Combien de vers de terre trouve-t-on sous nos pieds ?
Réponse : Si l’on dénombre moins de 150 vers de terre par m², cela équivaut à une abondance faible, et donc à une mauvaise qualité de sol.
Entre 150 et 300 individus, l’abondance est considérée comme moyenne ; et élevée au-delà de 300 vers de terre par mètre carré.
Source : DailyScience
Julia
Chargée de Projets Agriculture Régénératrice